Le Paradis des chats de Vladimir Kojoukharov

Du 26 au 30 novembre 2003 à l’Epicentre (Collonge-Bellerive)

Direction musicale : Philippe Béran
Mise en scène : Michèle Cart
Direction chorale : Christine Fellay
Chorégraphie : Béatrice Nauffray
Scénographie et costumes : Claire Berlie
Eclairages : Olivier Ding
Son : Jean-Daniel Garcia

Youkiko : Séverine Coquoz
Le petit chat : Jean-Loup Didelot
La noble dame : Cédric Cosendey
Le prophète : Florian Rossiaud-Fischer
L’hôtesse : Lara Alec
La vieille bossue : Laure Gurunlian / Géraldine Demierre

Le chœur des chats :
Lara Alec, Alice Bariguian, Louis Bellwald, Alan Bolumar, Jenna Bolumar, Nicolas Contesse, Emilia Cosme Madeira, Géraldine Demierre, Bernadette Fellay, Raphaël Fellay, Pernelle Grobet, Laure Gurunlian, Julie Marti, Fanny Nardo, Catherine Paschoud, Julien Pfortner, Sophie Robert, Florian Rossiaud-Fischer, Jessica Stone et Jeanne–Hélène Valloton

Piano : Clara Cellich
Violoncelle : Robin Majeur
Percussion 1 : Nicolas Curti
Percussion 2 : Frédéric Huber

Les articles de presse

Un chœur d’enfants entre au « Paradis des chats »

« Miaou ! Les chats sont rois cette semaine sur la scène de l’Epicentre, à Collonge-Bellerive. Opéra-Théâtre Junior donne en effet à voir et à entendre Le Paradis des chats, une action musicale pour voix d’enfants et orchestre, d’après un conte populaire japonais. Pour monter ce Cats, version japonisante et juvénile, un chœur d’enfants a été préparé par Christine Fellay. Il est accompagné par les jeunes musiciens du Collège de Genève, mené par Philippe Béran, la mise en scène étant assurée par Michèle Cart. Beaucoup de monde donc sur scène pour conter l’histoire de Youkiko, jeune servante chez une riche et méchante dame. La pauvrette a une seule amie, une petite chatte qui décide un beau jour de rejoindre le paradis des chats. La fille la suit et se voit alors récompensée pour sa gentillesse envers les félins. Son ancienne maîtresse voudrait bien, elle aussi, bénéficier des largesses des minets. Mais ils ne l’entendent pas de cette oreille. Mouchetés, tigrés ou sauvages, les petits chats seront en permanance sur scène, certains se détachant parfois du chœur pour prendre la parole et faire avancer l’action, qui évolue dans une ambiance japonaise. »

Françoise Nydegger
La Tribune de Genève, 25.11.03

Avec le soutien du Département de l’instruction publique de l’Etat de Genève, de la Loterie romande, du Centre artistique du Lac, de la commune de Collonge-Bellerive et du théâtre de l’Epicentre.